Les actions
- 2024-07-01 : Le grand sot dans le vide. D'après Adorno, le solipsiste est un fou enfermé dans un bunker. Macron est un psychopathe enfermé à l'Élysée et s'il est plein de lui-même, ce n'est pas parce que sa gigantesque personnalité occuperait tout l'espace, mais simplement parce que sa cervelle est encore plus étriquée que sa morale et que son ego suffit à l'encombrer. Mais au moins les choses sont claires : on voit clairement que le vice électoral chemine appuyé sur le bras du crime islamiste et que toujours les mêmes : ceux qui ont mis la France dans l'état dans lequel elle est, comptent toujours par des compromissions d'appareil imposer leur dictature au pays.
- 2024-06-21 : Prise de contact de quelques individualités. Je continue les prises de contact et sur 3 points : inciter les responsables (s'il en existe...) à annoncer que la France est hors d'état d'accueillir les jeux de cirque (J.O.) ; inciter les candidats à annoncer qu'il est hors de question d'augmenter les prélèvements mais que, dans un premier temps, il ne sera pas possible de les baisser (on ne peut se priver des moyens de reconstruire sous prétexte qu'on a beaucoup racketté pour détruire) ; militer pour mettre en place l'article 16bis. Même si cela ne donne rien immédiatement, je prends date et certaines idées feront peut-être leur chemin... ;
- 2024-06-09 : La mouche dans le bocal. Enfermé dans son égo, celui qui occupe l'Élysée, se fracasse le neurone au hasard de son agitation contre la paroi de sa bulle. Là, il a décidé la dissolution — parce que le seul moyen de faire oublier la claque, c'était de sortir quelque chose pour se remettre au centre de la scène. Mais c'est une bonne chose, somme toute, puisque nous ne pouvons en sortir que par un changement brutal. Mais cette solution "électorale" sera-t-elle une voie de réforme évitant la guerre civile ? Probablement pas. Car pour que la réforme prenne la voie électorale, il faudrait que les politiciens y travaillent et qu'ils y soient prêts. Notre consultation des partis au sujet des viols de la constitution, de la dictature de facto, et sur la nécessité de donner les moyens au Peuple français de tirer le frein à main (l'article ad referendum) prouve qu'il n'en est rien. Alors ? Alors les dés roulent, et il le fallait. Mais il y a 3 dés. Et le chiffre qui sera affiché pourrait bien être 666 — non, pas à cause du RN : à cause de la guerre civile. Et cela à cause de la médiocrité des partis politiques français. Qui n'apprennent jamais rien, et qui ne savent jamais oublier leurs intérêts et leurs querelles. Quoi qu'il en soit, je serai là pour leur rappeler ce qu'ils ont répondu aux questions qui étaient posées ;
- 2024-05-29 : Prendre date : toutes les réponses des partis. L'important était de prendre date pour la suite. C'est fait : désormais, les quinze partis "généralistes" ont été contactés et ils ont tous eu quinze jours francs pour répondre. Vous pouvez consulter le tableau des résultats sur trois questions aux partis politiques. Je leur souhaite d'avance bien du plaisir pour la suite, car ces réponses, je vais les leur attacher comme des boulets dans les mois qui viennent.
- 2024-04-24 : Cinquième action : envoi de la proposition d'article 16bis aux sénateurs de la Commission des lois. (La publication des actions 3 et 4 est réservée.)
- 2024-04-15 : mise à jour des réponses des partis.
- 2024-04-25 :La deuxième action (je réserve toujours la publication de la première) est lancée : demander aux formations politiques de se prononcer sur trois questions, dont les réponses seront publiées Vous pouvez découvrir les questions ici : trois questions aux partis politiques.
MAI 1958 – MAI 2024
Si l'Histoire ne se répète pas, l'incapacité des politiciens devant des situations toujours nouvelles, elle, se répète. Quand ne s'ajoute pas à cette incapacité la trahison.
Naguère, en mai 1958, le pays vomit son régime. La surprise ne fut pas la révolte, mais que le pays ait pu supporter si longtemps la dictature des partis ; « la dictature à tête de boeuf » comme l'a baptisée François Mauriac, décorant de cette monstrueuse paire de cornes les incapacités individuelles qui se succédaient à ce qui aurait dû être le Pouvoir — mais ils étaient impuissants ; sauf à nuire... —, mais pour conduire toujours la même politique : celle qui leur était imposée par la coulisse, les autres et les événements. À un politicien qui, irrité de ses critiques, lui assenait que « notre politique forme un tout, qu'il faut considérer en prenant de la hauteur », François Mauriac répondit : « Que votre politique forme un bloc, la France n'en doute pas, elle qui est en dessous. Et, compte tenu de ses résultats, on comprend assez que vous préfériez la considérer d'un petit peu loin... ».
La situation de 2024 présente bien des similitudes et le pays en est, une nouvelle fois, et de la faute de toujours les mêmes, à la dernière extrémité.
Puisque nous en sommes à la dernière extrémité, il faut réagir maintenant. Demain, il sera trop tard. Et il faut agir ici. Ne pas jouer les Grouchy, courant ailleurs afin de chercher à engager l'ennemi.
Le Peuple français a refusé le T.C.E. qui lui a été imposé par coup d'État parlementaire. C'est ici, dans nos communes, dans nos départements, qu'il faut saisir les responsables. Responsables, ils prétendront ne l'être pas puisqu'ils se sont bien dépêchés de se débarrasser de leurs devoirs, mais en gardant leurs prébendes. Nous n'avons rien délégué. Eux l'ont fait. Ils ont donc trahi. Ce n'est pas l'étranger qu'il faut accuser, ce sont les politiciens qui nous ont livrés à l'étranger.
Ce n'est pas à Bruxelles qu'il faut aller demander que les maîtres daignent nous entendre. Bruxelles ? Connais pas ! C'est ici que cela se réglera et pas ailleurs.
Et la première chose à faire est d'obtenir la clef de voûte manquante de la constitution de la Vème République : l'article 16bis, dit « ad referendum ». En bref : le Premier ministre est responsable devant l'Assemblée Nationale. Le président de la République est responsable devant le Peuple. Il s'agit de fournir le moyen au souverain : le Peuple français (c'est l'article 2 de la constitution), de convoquer le Président afin qu'il rende des comptes.
La proposition d'article est écrite. Vous la trouverez ici : l'article 16bis dit « ad referendum ».
Et la première chose à réaliser, c'est de le faire connaître et d'en discuter — d'en faire connaître déjà le principe, quitte à en perfectionner le détail de la rédaction. Pour en discuter, voyez les contacts. Pour le faire connaître, il suffit de transmettre le lien.
Ce n'est qu'une étape (et en fait pas la première ; mais je l'évoquerai plus tard). D'autres actions sont en cours et d'autres viendront. Et les suggestions sont bienvenues dès lors qu'il s'agit de converger vers le résultat : sauver le pays. Nous en sommes là.
C'est, pour la France, le début de la fin. Faisons en sorte que ce soit le début d'autre chose !